CôtéAu-delà d'un projet écologique fondamental, selon Pierre Mathonier, « il y a aussi un projet au sens économique avec une filière à créer ». Les 16.000 tonnes de bois qui alimenteront la chaufferie proviendront des forêts cantaliennes dans un rayon de 50 km. L'essentiel de la production du combustible sera assuré par Avenir Bois Énergie, l'entreprise Teil, la scierie Bonhomme et la coopérative Unisylva.
calendrier, si tout se passe bien, les travaux réalisés par des entreprises aurillacoises (Estival architecture, IGETEC, Matière et Soulier) devraient débuter en 2018, pour une mise en service en septembre 2019.La future chaufferie sera construite au niveau du site de l’Yser.
Ce choix énergétique permettra une diminution de 10.500 tonnes des rejets de CO2 par an, soit l'équivalent des émissions d'environ 5.000 véhicules circulant dans la ville d'Aurillac pendant un an.
Pratique. Les habitants et clients potentiels sont invités à une réunion publique de présentation du projet de réseau de chaleur au bois le mercredi 3 mai, à 18 heures, au centre
de congrès. Plus de renseignements sur le site internet : www.aurillac.chaleur-bois.com.
Emmanuel Tremet