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Impôts sur le Revenus : Permanence fiscale CGT

Comme chaque année , pour vous aider à faire votre déclaration de revenus ou répondre à toutes vos questions et préoccupations concernant la fiscalité, le futur «  prélèvement à la source »  les Camarades CGT des Finances Publiques tiendront une permanence fiscale dans les locaux de l’USR-CGT :

Mardi 9 Mai 2017 ; de 9H30 à 12 H

Maison des Syndicats à Créteil

Merci de prendre rendez-vous auprès de l’USR : tel : 01 41 94 94 17 , ou par courriel : usr@cgt94.fr

Ci-dessous un communiqué intersyndical des organisations de la Direction Générale des Finances publiques .

Bien amicalement


Prélèvement à la source : accident industriel en vue

Sauf décision contraire et rapide d’une nouvelle législature, le prélèvement à la source devrait être effectif au 1er janvier 2018.

Les organisations syndicales Solidaires Finances Publiques, CGT Finances Publiques et FO DGFiP, représentant à elles trois plus de 80 % des personnels de la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP), se sont toujours opposées à cette réforme et continuent de s’y opposer.

Lors des comités techniques de réseau (CTR) convoqués les 23 mars et 4 avril dernier, elles ont réitéré leurs positions et alerté une nouvelle fois, les responsables administratifs et politiques des risques d’accident industriel susceptibles de se produire tant sur le niveau des recettes fiscales de l’État que sur le consentement à l’impôt, les conditions d’accueil des contribuables ou encore les conditions de travail des personnels de la DGFIP.

L’ouverture de la campagne de dépôt des déclarations de revenus risque, au regard des éléments qui nous ont été communiqués, de drainer vers les services de la DGFiP de nombreux contribuables déboussolés et en recherche de réponses précises.



Pour une société plus juste, dans un monde de paix !

     Pour une société plus juste, dans un monde de paix !

lundi 1er mai 2017

Partout en France, 280 000 manifestants (110.000 en 2016), jeunes, salarié-e-s, retraité-e-s et privé-e-s d’emploi, se sont mobilisés pour revendiquer des droits et défendre, plus largement, la liberté, l’égalité, la justice, la fraternité, la paix, la démocratie et la solidarité internationale.
Dans les grandes villes comme dans des centaines de petites localités, une même aspiration au progrès social et à la rupture avec les politiques libérales s’est exprimée.
Les effets de ces politiques sur le monde du travail ont rendu possible, pour la seconde fois sous la cinquième République, l’accès de l’extrême droite au second tour de l’élection présidentielle.
Tout en dénonçant le danger pour la démocratie, la cohésion sociale et le monde du travail qu’incarne le FN, parti néo-libéral, ce 1er mai est l’expression de revendications sociales.
Diminution du temps de travail pour travailler mieux et travailler tous, augmentation des salaires, des pensions et des minima sociaux pour vivre dignement, défense des services publics pour en finir avec la désertification de trop nombreux territoires, ré-industrialisation et de nouveaux droits d’expression et d’intervention des salariés, tels ont été les mots d’ordre des cortèges.


Journée d’Etude départementale : "la place des femmes dans la CGT"

Cette session se tiendra à l’UD 94 le 19 mai et sera animée par Sophie BINET.

aujourd’hui à peine plus d’un tiers des membres de la CE sont femmes et le bureau, quant à lui n’a que 2 femmes sur 9 membres. Voulons-nous faire perdurer cette situation ?

Pour le bureau de l’UD, la réponse est clairement NON !

 

Dans nos Union Locales, nos syndicats, quelle place occupent les femmes dans la direction, quel pourcentage de femmes salariées sont syndiquées ?

Désormais, nous devons équilibrer nos listes électorales, nos représentations CGT. Comment faire si les femmes ne sont pas syndiquées, ne prennent pas de responsabilités ? Ces questions, nous devons non seulement nous les poser d’urgence, mais aussi y trouver des réponses. C’est l’objet de la journée du 19 mai.