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Compte rendu de la rencontre Directrice Générale d'ENGIE / Interfédérale IEG

Compte rendu de la rencontre

Directrice Générale d'ENGIE / Interfédérale IEG

L'interfédérale IEG CGT – CFDT – CFE CGC – FO - CFTC avait demandé depuis plus de 3 semaines un

rendez-vous avec Isabelle Kocher, rendez-vous finalement fixé le 28 mars, afin de porter la plateforme

revendicative IEG.

La CGT a rappelé que :

- l'action était d'ampleur et durait depuis le début d'année, et que les employeurs ne répondaient aux

revendications des agents, voire jouaient le pourrissement ;

- le SNB était gelé pour la première fois dans les IEG et que la crainte était qu'il le soit durablement,

remettant ainsi en cause non seulement le fonctionnement de la Branche des IEG mais aussi l'avenir

du Statut ;

- la rentabilité des entreprises était au rendez-vous et servait à verser de substantiels dividendes aux

actionnaires, tandis que les salariés le payaient durement par les plans d'austérité et le gel salarial ;

- les salaires n'étaient pas gelés seulement aux IEG : les entreprises du Groupe Engie étaient ou ont

été dans l'action comme c'était le cas des salariés d'Endel, rassemblés le jour même au pied de la

Tour T1. Ineo et Cofely n'ont pas signé d'accords salariaux. C'est donc bien une politique Groupe

d'austérité, politique qui est la même que côté EDF ;

- il n'était plus possible de continuer comme cela, surtout avec un manque de dialogue social

manifeste (c'est la première fois depuis sa nomination que la Directrice Générale d'Engie reçoit les

délégations fédérales).


Un véritable camouflet pour la Loi Travail et la direction de RTE !

30 mars 2017

Un véritable camouflet pour la Loi Travail et la direction de RTE !

Communiqué de presse commun Confédération CGT et FNME-CGT du 30 mars 2017

Les agents du RTE (Réseau de Transport de l’Electricité) ont clairement refusé l’accord soumis à référendum


Réponses aux questions – réunion DP du 23 février 2017

Réponses aux questions – réunion DP du 23 février 2017 Business Line Immobilier Tertiaire

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Etaient présents : T. HAJDIN / A. DUPUIS / M. CLERE / A. MAZOUZI / A. DUPUIS / M. COMMUN

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Etaient absents excusés : C. LERAY / K. KHENACHE / F. GIAMBORINO / O. MHRARI-DERDAG / D. BOUQUERAUD / Y. LAWSON / P. ALVES / J. GONCALVES / M. FLORACK

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1. « Pouvez-vous nous communiquer la liste des affaires gagnées, perdues et en cours de négociation » · Appel d’offre remporté: ICADE Immeuble « Le Morizet » (Boulogne Billancourt) · Nouvel appel d’offre : « AG2R » : En cours

2. « Ou est on des derniers reclassements suite aux pertes des contrats ? » La question a été évoquée lors de la réunion DP de janvier 2017, tous les collaborateurs de la BLIT ont été repositionnés suite aux résiliations de contrat, en dehors d’un collaborateur dont la situation est en cours d’étude.

3. « Avancement de la mise en place des PTI dans la BL ? » - Les sites à équiper ? - Sont ils concernés les salariés postés seul sur site ? En 2016, 


Déclaration de la CGT : La CGT vote pour le progrès social

A l’approche des élections présidentielles, la CGT souhaite continuer de porter des exigences économiques, sociales et environnementales durant cette campagne. C’est plus que jamais l’enjeu de la période et l’exigence des salariés, des retraités, des privés d’emploi et de la jeunesse. Cette campagne électorale s’éloigne trop régulièrement de ces attentes et des vrais problèmes, minée par des affaires ou des débats bien loin du quotidien et de la réalité du monde du travail.

Nous nous félicitons que les luttes de centaines de milliers de salariés, permettent qu’aujourd’hui, les questions du travail, de la précarité, de la protection sociale, de l’égalité femmes-hommes, des salaires, de l’industrie, des services publics, et de paix trouvent une place dans le débat public. Elles doivent s’imposer dans cette campagne politique.

Depuis plusieurs mois, la CGT porte des propositions alternatives économiques et sociales en adéquation avec les exigences, les possibilités de notre époque et les aspirations des travailleurs, retraités, privés d’emplois. 

Elle porte au cœur de sa démarche, la question du travail. Derrière ce mot, nous parlons de son organisation, du paiement des qualifications et de l’expérience, de la formation initiale et continue, des souffrances qu’il peut générer sur la santé.

Il est insupportable que certains perdent leur vie au travail, pendant que d’autres la perdent parce qu’ils n’en n’ont pas.

C’est pourquoi, nous revendiquons notamment une augmentation des salaires et des pensions avec, comme référence, le SMIC à 1800 euros, une réduction du temps de travail avec, comme référence, une durée de 32 heures hebdomadaire, un nouveau statut du travail et une sécurité sociale professionnelle, une protection sociale de haut niveau, des moyens supplémentaires pour les services publics, comme par exemple la santé, la culture et l’éducation, et la construction d’une véritable Europe sociale.

 


Devoir de vigilance

 

Communiqué commun des organisations : ActionAid-Peuples Solidaires, Amnesty International France, Amis de la Terre France, CCFD-Terre solidaire, CFDT, CGT, Collectif Ethique sur l’étiquette, Ligue des droits de l’Homme, Sherpa, membres du Forum citoyen pour la RSE.


Un pas historique pour la protection des droits humains et de l’environnement, un signal fort pour l’Europe et l’international

Paris, le 24 mars 2017- Le Conseil constitutionnel a rendu hier sa décision suite à la saisine dont il a fait l’objet concernant la loi sur le devoir de vigilance des multinationales (1). Il a jugé conforme à la Constitution l’essentiel du texte, validant ainsi la création d’une nouvelle obligation de vigilance pesant sur les entreprises multinationales, en matière de protection des droits humains et de l’environnement. Même si le Conseil a censuré les dispositions du texte instituant une amende, sa décision confirme la possibilité d’engager devant le juge la responsabilité des entreprises concernées en cas de manquement à leurs nouvelles obligations. Nos organisations* restent attentives quant à l’application effective de la loi, et mobilisées pour que son exemple ait un effet d’entraînement au-delà de nos frontières, avec l’adoption de législations similaires en Europe et au niveau international (2), protégeant les droits humains et l’environnement.